Envie d’apporter une âme, une histoire, une thématique culturelle à votre évènement ?
Capitalisez sur la privatisation des lieux de culture !
Un supplément d’âme pour votre événement
Au-delà désormais de les utiliser pour vos relations publiques ou de s’y rendre en équipe, des expériences vécues en tant que visiteurs, les lieux de culture vous proposent de privatiser un ou plusieurs de leurs espaces. Votre évènement s’approprie alors immédiatement l’histoire du lieu, son atmosphère, l’image qu’il suscite dans l’esprit de vos participants.
Beaucoup d’espaces insolites sont de nos jours ouverts à la réservation pour différents types d’évènements, ce qui avait déjà l’avantage de susciter la surprise et l’émotion pour ces temps forts. Ainsi, la plateforme Snapevent (https://www.snapevent.fr/) s’est spécialisée sur la location de lieux inattendus, répondant avec succès à un souhait actuel de ces nouvelles inspirations.
Les lieux de culture sont eux, en prime, synonymes de rareté, mais surtout d’une authenticité ou de thématiques qui leurs sont bien particulières : pensez au musée Guimet à Paris ou encore à la Cité du Vin de Bordeaux.
Chaque lieu possède ses propres atouts
On pense bien sûr à leur architecture et à leur atmosphère puisqu’ils font souvent partie du patrimoine historique, comme le château de Fontainebleau. Cela peut aussi être l’occasion de découvrir leurs collections permanentes : la Bibliothèque Nationale de France ou la Fondation Dapper seront ravis de vous ouvrir leurs portes dans ce cadre. Damien nous raconte son expérience au sein de ce dernier : “Nous avons eu l’occasion d’organiser notre congrès TOPCOM au sein du musée Dapper : nous avions eu la chance de découvrir la collection permanente des oeuvres d’art africain.” Si votre souhait est accentuer l’aspect éphémère de votre événement, réserver des espaces accueillant des expositions temporaires y répondra tout à fait. Dans le cadre d’une soirée initiée par les Editions Nathan, les invités ont ainsi pu apprécier les projections Van Gogh de l’Atelier des Lumières en octobre dernier, tout en conservant un souvenir de cette thématique grâce à des Flipbooks aux couleurs de l’artiste. A la recherche d’activités ou d’avantages inédits ? Faites appel à certaines institutions comme le musée Grévin. Ce dernier a par exemple organisé pour Oneytrust un jeu d’énigmes par équipes à la bougie à travers ses salles pendant la soirée, qui fut complété par un studio Flipbook pour pouvoir continuer à s’amuser avant et après. De façon tout à fait différente du côté de L’Olympia, Céline Nogues* précise : “organiser son événement à l’Olympia c’est s’inscrire dans la légende, c’est se rapprocher du mythe, c’est avoir son nom sur la façade, et forcément ça attire la plupart des gens”.
Un apport financier appréciable pour ces organisationsFaire appel aux espaces culturels est donc un moyen d’engager ses participants pendant l’évènement, mais également de montrer le soutien que l’entreprise apporte à cet univers. En effet, la privatisation implique un apport financier conséquent de la part des structures privées. Or les institutions culturelles sont régulièrement à la recherche de nouveaux revenus et l’évènementiel peut en représenter une source régulière. Certaines l’ont d’ailleurs bien compris et ont pris en compte la possibilité de réserver des espaces pour des évènements privés lors de leur conception, comme le Musée des Confluences à Lyon. C’est d’ailleurs dans cette optique d’intérêt mutuel que Museva, le salon international des locations privées des musées, monuments et salles de spectacles a tenu avec succès sa 3ème édition au Carrousel du Louvre en janvier, avec plus de 70 lieux exposants.
Les contraintes de l’évènementiel nécessitent une adaptation structurelle
Du côté des lieux de culture, s’ouvrir à la privatisation est donc une opportunité financière très intéressante, mais qui est également source de challenges.
Souvent publiques ou avec un fonctionnement similaire orienté principalement sur leur contenu culturel, ces institutions évoluent en permanence pour s’adapter à une vision et façon de faire plus capitalistes. Pour l’événementiel, il faut notamment savoir mettre ses atouts en avant pour la location, avoir une personne en charge de celle-ci, être capable de gérer la logistique évènementielle souvent très contraignante en termes de délais, etc.
Les entreprises qui privatisent et ces organisations culturelles apprennent alors à collaborer pour faire de l’événement un moment fort, réussi, qui capitalise sur le lieu qui les accueille afin d’en faire une expérience unique et mémorable !
Zoom sur quelques évènements où nous étions présents avec nos animations :
- soirée des voeux d’un groupe du CAC 40 musée du Quai Branly
- congrès professionnel européen à la Chambre de Commerce de Lille
- stand d’un exposant lors du France Digital Day au musée des Arts Forains
- départ d’un dirigeant d’un joaillier à l’Opéra Garnier
- soirée de fin d’année d’un éditeur majeur de jeux vidéo à l’Aquarium de Paris
- lancement d’un parfum d’une maison de luxe au Centre Pompidou
Source : http://www.museumexperts.com/museva/visiter/presentation, vidéo de la 2ème édition, 3”07